Lille et Toulouse en tête du palmarès des hôpitaux de France selon le Point….
Les CHU de Lille (1er) et Toulouse (2e) sont toujours en tête de l’édition du palmarès des 50 meilleurs hôpitaux publics français étudiés pour la qualité de 63 spécialités médicales et chirurgicales, que publie ce jeudi Le Point.
Depuis plusieurs années les hôpitaux de Toulouse et Lille caracolent en tête du tableau complété d’un palmarès des 50 meilleures cliniques privées prenant en compte 37 spécialités, selon un classement publié par le journal le Point ce jeudi.
Le CHU de Rangueil figure parmi les meilleurs pour 60 spécialités. Il est notamment premier en endocrinologie et pour le traitement de l’infarctus du myocarde. Il figure dans le trio de tête pour
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la chirurgie des tumeurs osseuses, de la cheville, de la myopie, des carotides et des testicules
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les traitements du diabète, du cancer de la prostate, de l’hypertension artérielle, l’épilepsie et les tumeurs de la vessie
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les soins concernant l’estomac et l’œsophage, la pneumologie,, la thyroïde, les urgencestraumatologiques
Les critères retenus
Pour figurer au classement final, un établissement doit fournir un service médical et chirurgical complet. Les établissements de soins spécialisés en sont donc écartés, mais apparaissent dans les classements sur la prise en charge des cancers ou des maladies infantiles. Les classements thématiques couvrent un large éventail des soins (hépatites virales, diabète, rhumatologie, cancers de la prostate, hernies, chirurgies de l’obésité, de l’oeil, du pied, hypertension artérielle…). Au chapitre des nouveautés, la chirurgie de l’audition et celle du nez et des sinus (uniquement à l’hôpital).
La suite du classement
Suivent le CHU de Bordeaux (3e), les hôpitaux universitaires de Strasbourg (4e), le CHU de Nantes (en hausse), celui de Montpellier (qui passe de la 5e à la 6e place), la Pitié-Salpêtrière-Paris (en hausse), les CHU de Nancy (qui passe de la 15e à la 8e place), de Rennes, Grenoble, Amiens, Rouen, Tours, Caen, Clermont-Ferrand, Nice et Limoges. Le centre hospitalier de La Roche-sur-Yon (50e) ferme le ban.